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 Un
cercle, un portique de 8 mètres, des élastiques,
des trapèzes, des cordes. Un crime, des crimes… Un huit
clos entre des personnages suspicieux et un public suspect. Un
polar aérien plein de suspens et d'aventures rocambolesques
pour une heure d'humour et de poésie. Alliage judicieux
de techniques de cirque (main à main, clown, danse contact,
équilibre, monocycle, contorsion, trapèze, élastique…)
et d'une mise en scène théâtrale.
Contact : Florence Caillon (02 32 49 71 08)
Résidence
Fourneau 99
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Né
de l'industrie pétrolière et de l'imagination des
habitants de Trinidad, le steel drum, ce surprenant bidon mélodique
a connu un engouement énorme dans cette île des Caraïbes
et de véritables orchestres symphoniques se sont ainsi constitués
autour de cet instrument bizarre. "Chic !" parade en rouge
et en noir est le fruit d'une première collaboration avec
la compagnie Oposito qui en a assuré la mise en espace et
les costumes…
Une
bombe d'énergie que cette compagnie morlaisienne, qui,
sur fonds d'acrobaties exécutées sur un rythme trépidant,
nous interroge avec un sourire en coin, sur le paradoxe de la
non-communicabilité des médias, et la difficulté
de la relation à l'autre.
Spectacle
mimé, composé de tableaux, interprété
par 4 personnages tous identiques et pourtant tous très
différents. Les situations loufoques et les quiproquos
s'enchaînent à un rythme d'enfer pour se terminer
par un ballet où le public devient orchestre.
Voix
rauques des marins luttant contre les déferlantes, présence
en filigrane des îles légendaires, vision obsédante
des navires où s'exacerbent les passions, voici une évocation
hallucinante de la célèbre mutinerie des marins
du Bounty en plein Pacifique. Utilisant un processus artistique
original basé sur le langage spécifique de l'ombre,
tradition antique des théâtres asiatiques, cet opéra
fantastique à la Hugo Pratt où les ombres dessinées
se mêlent à celles véritables des comédiens
et à celles des voiles du navire a quelque chose de grandiose
et de mystérieux.
3ème
prix du Festival interceltique de Lorient, Dalc'h Sonj, constitué
en 1993 autour d'un duo bombarde-accordéon, s'est étoffé
jusqu'à devenir un quatuor avec 2 guitares, un tallabardeur-saxophoniste-clarinettiste
et une chanteuse. Leur premier CD "Lusk ar Galon" ("L'élan
du cœur" en français) est un bouquet de somptueux chants
du terroir vannetais, magnifiés par la très belle
voix de Ghislaine Le Guillant qui traduit avec un infini bonheur
leur beauté originelle. Cette musique, belle, sensible
et généreuse constitue dans sa restriction géographique,
la preuve de la richesse du patrimoine breton.
Lauréat
du "Kan ar Bobl" en 1996 et second au concours inter-lycéen
de Lannion, ces jeunes musiciens, tous lycéens de Diwan,
appartiennent à la très jeune génération
des groupes de Festou Noz qui vont enflammer les folles nuits
celtiques à venir. Dans leur répertoire surtout
"montagne", le rôle essentiel joué par les instruments
traditionnels comme l'accordéon et le biniou-koz est
souligné par le rythme endiablé du djembé
ou des darbouka. Leur musique, bourrée de la fraîche
énergie communicative de leur âge est soucieuse
des interprétations de styles sans ignorer les influences
contemporaines.